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CANNES : paillettes, soirées, poeple et aussi CINEMA !

Par Citoyenhmida

Le cinéma n’est pas spécialement ma tasse de thé. S’il fut un temps où j’aimais bien aller voir un film, avec le temps j’en ai perdu l’habitude et même l’envie.

Pourtant, le festival de cinéma de Cannes continue à m’intéresser et surtout à m’intriguer !

CANNES : paillettes, soirées, poeple et aussi CINEMA !

Aucun autre festival de cinéma n’arrive à lui ravir la magie qui entoure cette manifestation artistique, bien sûr, mais aussi « poeple » !

A cause de cette concentration de vedettes et de stars, ce coté bling-bling, cet aspect paillettes, cette quinzaine de fêtes délirantes, ces yachts démentiels de démesure,

CANNES : paillettes, soirées, poeple et aussi CINEMA !

, ces journalistes avides de la moindre déclaration de la plus petite starlette, ces plateaux de télévision installés en plein air au bord de la mer, ces gardes du corps parfois plus nombreux que le public, ces starlettes affriolantes  en quête de renommée ou parfois simplement de coup de pub, ces limousines hallucinantes, ces chasseurs d’autographes ou de photos que rien n’arrête

CANNES : paillettes, soirées, poeple et aussi CINEMA !

, ces flashs destinés à recueillir ces sourires plus artificiels les uns que les autres, ces hôtels dont les noms font rêver – Carlton, Martinez -

CANNES : paillettes, soirées, poeple et aussi CINEMA !
CANNES : paillettes, soirées, poeple et aussi CINEMA !

ces marches et ce mythique tapis rouge

CANNES : paillettes, soirées, poeple et aussi CINEMA !

Bref toutes ces outrances en tous genres !

Mais il y aussi et enfin ces films !

Parfois des chefs d’œuvre, souvent des navets indigestes, quelques fois des opus qui ont marqué le cinéma, d’autres qui ont fait scandale ou qui ont provoqué la colère des spectateurs ou même  de l’église !

Si certains films primés à Cannes ont connu un succès populaire important, d’autres se sont heurtés à l’indifférence du public !

Il faut signaler qu’au palmarès du Festival de Cannes figure un  film « marocain » : il s’agit de « OTHELLO » qu’Orson Welles avait présenté en 1952 comme film marocain, pour remercier la population de Essaouira  de sa contribution et de son aide.

Cette année, le festival a failli être compromis par la tempête qui a dévasté la Côte d’Azur, et Cannes notamment, dans les premiers jours du mois de mai ! Mais les enjeux sont trop importants : tout a été entrepris pour que l’ouverture le 9 mai et le déroulement de la manifestation se passe dans les meilleures conditions.

Le Festival de Cannes, c’est tout cela et plus encore !

Les articles dans les journaux et les programmes spéciaux sur les chaînes télé vont nous en donner un aperçu, mais aucun ne saura parler cette ville  comme l’a fait Léo FERRE dans sa chanson « CANNES LA BRAGUETTE » !

Écoutez-la et rêvez Cannes, de ses folies et de ses films, si vous aimez le cinéma!


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