Dame nature

Il est au sein des bois un charme solitaireUn pur ravissement aux confins du désertEt de douces présences où nul ne s’aventureAu bord de l’océan qui gronde et qui murmureSans cesser d’aimer l’homme, j’adore la Nature. Lord Byron
Regardé l'autre soir le film Into the Wild.
Comme dirait une pub pour un fournisseur internet : la claque !
Waouh !
Le scénario avait beaucoup pour me plaire. Un gosse de riche diplômé qui plante tout pour partir à l'assaut de lui-même et vivre seul en Alaska au terme du périple. Le tout inspiré d'une histoire vraie.
L'histoire est fascinante, le chemin du jeune homme jamais glauque. C'est déjà un bon point. La patte de Sean Penn, le réalisateur, complète la panoplie. Le style road movie, la musique d'Eddie Vedder et de Michael Brook, le jeu des acteurs enfoncent le clou et donnent à ce film quelque chose de plus. Une puissance.
Dame Nature, à la fois aimant et piège, source de vie et de mort.
La quête de la vérité, surtout. Sa vérité.
Lire, écrire.
Comprendre. Que le bonheur n'est possible que s'il se partage avec d'autres.
Le chemin vers soi pour se dépoussiérer de la société.
En savoir plus sur wikipédia (cliquer là, avec un prolongement sur l'histoire vraie à l'origine de tout cela). Et un site de fans à découvrir ici. Site de ciné là.