En Chine, Arménie, Azerbaijan, Georgie, Inde, Serbie (...) le ratio garçons/fille est supérieur à 110 garçons pour 100 filles nées. Les conséquences de ces ratios sont désastreuses, non seulement pour les petites filles souvent tuées à la naissance mais aussi économiques, politiques et sociales, avec entre autres, l'augmentation du taux de criminalité, de suicide, de viols, de trafic de femmes, de prostitution.
En Corée du sud, le gouvernement a réussi à réduire cette tendance vers des proportions plus naturelles - grâce à des lois anti-discrimination et en faisant évoluer les mentalités afin qu'une préférence pour la naissance d'un garçon soit maintenant vue comme vieux jeu... augmenter d'autres usines de poupées gonflables n'est pas la solution !
source : the economist
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