les plagias de aubsydium

Par Otangerac
 

Lorsque une personne fouille dans votre vie jusqu a la miette de merde qui sort de mon cul qui mélange amour amitié délation, ajouté a cela les ragot de mes enfants petit enfants mon ex femme avec mes copines mes amis et amies, mes chien mes chats les chevaux mes rosier mon puis ma nappes phréatique mes compteurs électriques, mon platane, mes lectures, mes écris,le bon coin avec le petit coin,la femme de mon fils, mon fils que es traumatisée, ma compagne une ivrogne, la mères de mes enfant c’et une vache saint michèloise le pire sans l’avoir rencontrer, les phrases de mes poèmes plagié,certain mots repris mélanger avec des poèmes plagier, le nom de mon château, les bruyères, jusqu a la fosse septiques explosée, ma cuisine avariée, tout y a passé depuis plus d’un an ,a lire sur son blog et j’en oublie en fait elle s’étonne pourquoi je l’ai zapper

Sur se poème qu’elle a posté pour un concours sans aucune honte alors voyons un peut l’inspiration, puis elle a le culot de dire que c’et moi qui la harcèle voyons Madame voyons !!

Pris sur le site dérives du net

Le 30 avril

NOUVEL ESSAI D'AUBSYDIUM POUR PARTICIPER AU CONCOURS DE MOI-MÊME

"Aubsy" a récidivé et re-publié un "texte" pour le concours organisé chez "MOI-MEME"

(voir ICI : http://moimemedeux.spaces.live.com/ 

Elle l'a fait "au dernier moment", pour éviter sans doute que l'on ait le temps de riposter... Bien essayé, mais raté !!!

Voici son chef-d'oeuvre : en rouge les mots d'une autre, en orange son "adaptation" du texte de cette autre, en noir ce qu'elle a "inventé"... Comme vous le remarquez, il y a peu de noir... DONC, PEU D’INVENTION, PEU D'ELLE

Des pierres anciennes d'un Château qui racontaient le vent d'Autan
Sous le plus vieux des platanescourait le rire de nos enfants
Et sur le pont de pont Saint Esprit passait le temps bien indolent
Le soleil d'or aux chants des cigales de cet étéétincelant
Les pierres
anciennes du Château racontaient le vent d'Antan

Et le Châtelain l'Amise transformait en confident

Sur le clocher du village montait la dentelle d'encens
Les étoiles filantespartant pour le firmament
Le Bonheur palpitant de ces cafés aux petits matins
Les dimanches
pains au chocolat les doux refrains
Les bulles de savon de Cendrillon et les cuivres anciens
Les sculptures en vieux outils et même les pichets de vin
Sous le plus vieux des platanes tournaient
le rire de nos enfants
Le cheval blancRenoir le vieux carrosse et les grands serments
Les pétalesde Roses rouges d'outre tombe fleur du mal des amants
Restaient figéssur nos Coeurs Aimants

Vous trouverez la poésie originale sur le site de poésie « Oniris.be » à l’adresse ci-dessous :

http://www.oniris.be/poesie/automnale-les-vieilles-pierres-3813.html 

Des pierres anciennes d'un Château (mon château)qui racontaient le vent d'Autan
Sous le plus vieux des platanes
(mon platane) courait le rire de nos enfants
Et sur le pont de pont Saint Esprit
(mon patelin) passait le temps bien indolent
Le soleil d'or aux chants des cigales de cet étéétincelant
Les pierres
anciennes du Château racontaient le vent d'Antan

Et le Châtelain l'Amise transformait en confident(c’et encore moi mais qu’el regret ses confidences)
Sur le clocher du village montait la dentelle d'encens

Les étoiles filantespartant pour le firmament
Le Bonheur palpitant de ces cafés aux petits matins(les cafés j’airais du luifaire payer)
Les dimanches pains au chocolat les doux refrains
Les bulles de savon de Cendrillon et les cuivres anciens
( elle fabule la bougresse)
Les sculptures en vieux outils et même les pichets de vin
( c’et de moi quelle parle mes sculptures)
Sous le plus vieux des platanes tournaient le rire de nos enfants(
encore monplatane)
Le cheval blancRenoir le vieux carrosse et les grands serments
(mon chevalmon chiens les serments c’est ses fables)
Les pétalesde Roses rouges d'outre tombe fleur du mal des amants
(mes rosiers rouges)
Restaient figés sur nos Coeurs Aimants
( voilà ou ca vas pas nos cœurs elle parlepour elle c’et pas mon cas)

NOTER : sur ce premier passage poétique, vous remarquerez que le texte est écrit sans fautes, qu’il a du sens et beaucoup de poésie… Malgré les modifications apportées, c'est un beau texte.

Nous savons qu’ «Aubsy » a de gros problèmes d’orthographe et beaucoup de lacunes en ce qui concerne l’écriture. Donc cet écrit nous a forcément interpellés… Il ne pouvait en aucune façon être d’elle… Hélas, nous avions raison.

LE RESTE DE SON TEXTE part en vrille, un peu dans tous les sens, il est bourré de fautes en tous genres, parfois en vers, parfois en prose, hors sujet de départ, incompréhensible souvent, bref un texte sans aucun talent, où l’on relève quelques mots « empruntés » à d’autres :

En voici quelques-uns :

« L'Anathéme esttroplourd  

Tousces serments brûlant »  

« Deux voyelles s’aiment »  

(La faute est d’elle…)

(Mots empruntés à des chansons de Mylène Farmer)

 « L'adrénaline au Coeur pensées mélées au sang et à la chaire » (Les fautes sont d’elle aussi)

(Mots empruntés sur un site de poèmes pour adultes, à cette adresse : http://www.poesie-poemes.com/modules/news/index.php?storytopic=3&start=30

Nous avons abandonné nos recherches là… Dégoutés !

Tu as fait fort « Aubsy » !!!

PS : Nous tenons à signaler que nous avons prévenu l’intéressée en ce qui concerne son plagiat et lui avons demandé de retirer son poème… Elle n’en a rien fait…

Comme je vous l’ai ecris au debu ceci n’es pas de moi voici le lien

http://lesderivesdunet.spaces.live.com/default.aspx