Magazine Cinéma
vendredi 07 mai 2010
A force de trop produire, Spielberg est capable du meilleur comme du pire, comme je l’ai déjà écrit à propos de Munich. Ici, on a droit au meilleur. Quand Spielberg devient poète, il me ravit. L’aspect ridicule d’E.T. et de son vaisseau spatial ne comptent plus, il est excellent lorsqu’il décrit le monde de l’enfance même si l’opposition avec les adultes est assez classique et un peu trop manichéenne. Bref c’est un film émouvant qui nous entraîne avec plaisir dans le rêve du cinéaste.