Magazine Cinéma
vendredi 07 mai 2010
En général, je n’aime pas trop les films de vampires, en fait je les évite plutôt. Le pire étant pour moi représenté par Blade (je n’ai pas vu les suites) et Underwold (là, j’ai vu la suite un soir de grande faiblesse). Cela devient vite sanguinolent et se rapproche vite du film d’horreur, genre que je déteste complètement, ce genre se rapproche alors du porno, proche de la série B et d’une créativité proche de zéro. Le Dracula de Coppola n’est en fait pas un film de vampires, c’est d’abord un drame amoureux, avec de très belles scènes fantastiques. Dracul est déchiré entre sa nature maléfique et le souvenir de son amour perdu, il ne veut faire partager son état avec Mina provoquant ainsi sa perte.