Magazine Cinéma
vendredi 07 mai 2010
Pour beaucoup ce film se réduit à quelques scènes comme celle des primates découvrant le premier outil ou bien encore la scène de fin assez délirante ; c’est aussi des musiques connues comme Ainsi parlait Zarathoustra et la station spatiale se mouvant au rythme du Beau Danube bleu. Après le reste paraît assez confus. Telle a été en tout cas ma première impression. Ce n’est qu’après avoir lu le livre que je pense avoir un peu plus compris le film. C’est un peu dommage et même si j’aime voir un film après avoir lu le livre éponyme ou vice-versa, je pense que l’un et l’autre doit se suffire à lui-même.
Grâce au livre on comprend mieux la rencontre avec les extra-terrestres, la prise de conscience de l’ordinateur HAL. Et je pense que c’est assez essentiel pour apprécier ce film un peu trop ouvert à mon goût, même si c’était la volonté du cinéaste. Car le risque est que la vision de ce film ne se limite qu’à une expérience visuelle.