Extrait d’article des Echos du 26 avril 2010
Renonciation. Sur les quarante dirigeants opérationnels cités dans le tableau ci-contre, vingt et un ont touché des stock-options (options de souscription et/ou options d’achat d’action) au cours de l’exercice 2009.
(…)
Ces titres peuvent constituer un très confortable complément de rémunération. Jusqu’à susciter la controverse, comme ç’a été le cas pour Daniel Bouton, l’ex-président nonexécutif de Société Générale, dans les premiers mois de la crise financière.
Devant la salve de critiques formulées par plusieurs élus politiques de premier plan et l’incompréhension de l’opinion publique face à ces instruments très rémunérateurs en cas de remontée du cours des actions, nombre de dirigeants y ont pour l’heure renoncé.
On peut citer Frédéric Oudéa, de Société Générale, ou encore Jean-Paul Agon, de L’Oréal.
Jeu de briques
Snake
Pacman
Bubble