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Publié le 11 novembre 2006 par Raymond Viger

Notre organisme, le Journal de la Rue, a déjà eu une excellente fonctionnaire de la Ville de Montréal comme administrateur. Elle a dû démissionner lorsque nous voulions faire une demande de subvention à la Ville de Montréal. Il est arrivé la même chose à une fonctionnaire qui travaillait au Ministère des Relations avec les Citoyens. Il est vrai que nous ne demandions des subventions que de 5 ou 10 000$. Nous ne parlions pas des budgets faramineux des festivals internationaux ou de la CSL.

Comment va réagir la Ville de Montréal si un organisme demande une subvention pouvant concurrencer les évènements majeurs sous l’administration de M. Labrecque? Si Ville de Montréal voulait se désengager des faramineuses subventions données, à même nos taxes, aux différents évènements sous la tutelle de M. Labrecque, les deux entreprises desquelles il fait partie n’auraient-elles pas un lobbyiste en place pour faire du maraudage pour renverser la vapeur? Ses fonctions de lobbyistes ne sont-elles pas contraire aux intérêts des citoyens qui ont votés pour lui? Comment réagirait M. Labrecque si l’un de ses principaux commanditaires de festivals devenait le mouton noir dans son arrondissement? Peut-il être une autorité politique intègre tout en acceptant des commandites de ceux-ci?


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