Magazine

journaldelarue

Publié le 11 novembre 2006 par Raymond Viger

À son retour à Montréal, un cadre de Loto-Québec, M. Vincent Trudel, contacte Mme Panasuk pour l’aviser d’une nouvelle décision de Loto-Québec de retirer 2 des 10 machines à sous de Shefferville et de diminuer les heures de disponibilité des machines restantes.

À quoi sert de payer un porte-parole comme Jean-Pierre Roy si, lorsque nous voulons parler à Loto-Québec, il ne daigne pas retourner nos appels au moment où l’on veut les questionner?

Si Loto-Québec ne rappelle les journalistes que lorsqu’ils sont prêts à annoncer des “changements”, est-ce une façon transparente d’agir pour une Société d’État?

Cet événement démontre que Loto-Québec peut faire des changements. Mais pour y arriver, il faut leur tordre un bras et les acculer au pied du mur. Leur conscience et leur morale ne semblent pas être des motivations innées pour cette Société d’État.

Je profite de cette occasion pour féliciter Mme Anne Panasuk et son équipe pour la réalisation de ces deux reportages. Les gains obtenus à Shefferville sont minimes par rapport à ce qu’il faudrait que nous fassions en tant que bon père de famille. Mais ces gains ont été réalisés grâce à la tenacité et à la qualité du travail de Mme Panasuk.

Continuez votre bon travail Mme Panasuk. Le Québec a besoin d’excellent journaliste comme vous.

Autres textes sur Loto-Québec

Loto-Québec, une longue tradition de mensonges

Merci à Loto-Québec de nous avoir ruiné


Retour à La Une de Logo Paperblog

A propos de l’auteur


Raymond Viger 488 partages Voir son profil
Voir son blog

l'auteur n'a pas encore renseigné son compte l'auteur n'a pas encore renseigné son compte