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Publié le 12 novembre 2006 par Raymond Viger

Ancien consommateur fidèle de Shell, j’ai perdu une automobile qui avait eu des problèmes de pompe à essence, un des signes soulignés par le recours collectif. Dans mon cas, j’ai possiblement été une victime des mauvaises essences de Shell qui n’a pu se faire dédommager. J’ai abandonné ma voiture à une cour à «scrap» avant le début du recours collectif.

Mantenant, les publicités de Shell ne cessent de vanter la qualité de leur essence. Est-ce une façon de nous faire oublier qu’ils ont bouzillé nos voitures avec de la mauvaise essence? Est-ce que je dois en conclure que lorsque les multinationales nous présentent une publicité sur les avantages d’un de leurs produits je peux en conclure que cela faisait parti de leurs points faibles et qu’ils tentent de nous cacher la vérité avec leur tapage publicitaire?

J’ai longtemps tenté d’ignorer toutes les formes de publicité. Maintenant, je les regarde d’un oeil différent. La publicité m’indique les points à surveiller dans l’histoire du produit.

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