Hommage aux gens de la plume, du micro, de la caméra, de la photo en ce 3 mai 2010.
M. Koïchiro Matsuura, Directeur général de l’Unesco avant Mme Irina Bokova, disait : « Il est de la plus grande importance que les violations de tous les droits de l’homme, telle que la liberté d’expression, reçoivent une réponse appropriée. La liberté d’expression et la liberté de la presse doivent être considérées comme étroitement liées avec les thèmes fondamentaux que sont le développement et la démocratisation. » Il faisait remarquer en 2004 : « On ne soulignera jamais assez que la liberté d’expression et la liberté de la presse sont des conditions préalables à la participation des citoyens à la vie démocratique de leurs sociétés, au développement économique et social, à l’instauration de la paix. Il est de plus en plus clair que la mise en œuvre de ces principes est également essentielle pour nourrir la compréhension interculturelle sur laquelle peuvent s’édifier une paix durable, la sécurité et le développement ».