Depuis le lancement de sa nouvelle campagne ce lundi 3 mai, il semble que la stm ait changé son traditionnel logo qui était une réduction de l'ancien logo de la STCUM (voir plus bas) pour un logo qui est plus fluide et plus joli à l'oeil. J'ai vu ce logo chez Sid Lee lors des portes ouvertes de Design Montréal ce samedi, mais je croyais qu'il s'agissait simplement d'une signature que Sid Lee avait présenté et qui avait été rejeté. Mais ce soir, alors que je me promenais sur le site de la stm, j'aperçois que le logo sur la page a également changé. Bravo, c'est un superbe logo. J'espère qu'il fera son apparition bientôt partout comme sur le widget de la stm créé par Sid Lee et Hue Web Studio, sur les autobus, sur le métro, les publicités, etc. Car moi quand on me montre un nouveau logo, je ne veux plus voir l'ancien.Voici l'ancien logo si vous l'aviez oublié.
J'apprécie le nouveau logo, ça va faire un réel changement, mais je me questionne encore sur l'engagement des employés avec le nouveau nom, car encore lundi j'ai croisé une employé de la stm avec une épinglette de la STCUM, il serait le temps de mettre au courant les employés que la stm a changé de nom. J'apprécie vraiment tous les efforts de la stm, mais il faudrait vraiment que les employés embarquent également dans le mouvement collectif. Par exemple, j'ai vu (encore lundi) un employé coller pleins de chose sur les vitres des magnifiques nouveaux postes de métro de la Station Henri-Bourassa (comme celui ci-dessous). C'est laid, quel est l'utilité d'avoir des vitres tout le tour si les employés collent des cartes dessus. N'ont ils pas un ordinateurs dans lequel il pourrait y avoir une carte non?Je m'interroge également sur le bienfait de la nouvelle campagne qui nous incite à recycler, mais où on ne retrouve pas des poste de recyclage (autre que le papier) dans toutes les stations. Et j'espère que l'on réglera le dossier du métro le plus rapidement possible en l'accordant au consortium Bombardier-Alstom car j'ai hâte de m'asseoir dans un beau métro tout neuf que j'aurais pris en attendant l'autobus dans un nouvel abribus.