Il termine son entrevue avec cette remarque: « C’est sûr qu’il y a toujours les bonnes soeurs de St-Joseph qui sont offensées, mais c’est dans la nature de la pub de provoquer. »
Je suis déçu de voir que lorsque des gens s’indignent contre une publicité, on les traites de bonnes soeurs de St-Joseph. Si ce professeur, malgré qu’il soit reconnu par le Journal de Montréal comme un spécialiste de la publicité et du marketing, enseigne en laissant sous-entendre que la pub doit provoquer et que les réactions des citoyens ne sont pas importantes et non significatives, nous pouvons nous questionner sur le respect que les publicistes ont de la population en général et les limites qu’ils peuvent tolérer dans leur créativité.