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Publié le 25 janvier 2007 par Raymond Viger

(Agence Science-Presse) - Les vétérinaires doivent mentionner l'inavouable et confronter la situation des abus sexuels sur les animaux, clame Helen Munro, professeur à la Royal School of Veterinary Studies à Edinburgh, Royaume-Uni, dans l'édition de septembre de The Veterinary Journal. " Même dans la profession vétérinaire, la bestialité est une activité incidente, dont il ne faut pas trop se formaliser dans la mesure où elle ne cause pas de blessure à l'animal; voilà le dernier tabou à dénoncer " . Mais l'abus sexuel n'est jamais sans conséquence, affirme-t-elle. Elle mentionne que souvent, les gens qui abusent des animaux s'en prennent également aux enfants et aux personnes âgées. Le Collège Royal de Chirurgiens Vétérinaires, à Londres enjoint les vétérinaires à dénoncer un abus " même si cela implique de passer outre la confidentialité du client " .

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