- L’homme idéal est un homme du peuple. La différence entre le riche et le pauvre est que le premier a réussi, le second pas encore. C’est probablement la marque d’une vraie démocratie : il n’y a rien de mieux qu’être un Américain.
- En France, j’ai l’impression que la vie du peuple fait l’objet soit de films bienpensants et misérabilistes, soit d’une valorisation des défauts du Français, de type Astérix. Être pauvre demeure une tare ?
Sous cet angle, je suis peut-être Américain. Serait-ce pour cela que j’apprécie Rohmer ou Welcome ?