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Publié le 02 mars 2007 par Raymond Viger

Qui plus est, nous sommes très proches des souris. Nous possédons sensiblement le même nombre de gènes (environ 35 000), et beaucoup ont des fonctions similaires. Par exemple, la découverte d’une souris capable de guérir du diabète de type II est à l’origine d’une grande recherche mondiale.  » Grâce à cette souris, il commence à y avoir sur le marché des phases cliniques  » continue le Dr Tremblay.

L’étude des cellules souches faciliterait les greffes de la peau à des grands brûlés. De nouveaux tissus répareraient le cœur et les vaisseaux sanguins.