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Publié le 19 mars 2007 par Raymond Viger

Dans le cas d’Éléonore Mainguy, elle a déjà fait les manchettes de presque tous les médias depuis plusieurs années. Rien de nouveau dans son discours qui mériterait la une du Journal de Montréal. Encore une fois, qu’on en parle, puisqu’elle a déjà été très médiatisé, c’est correct. Mais pas à la première page, réservé aux nouvelles importantes de l’heure.

Un point commun pour ces deux livres, ils sont publiés aux Éditions Stanké. Il faut cependant se souvenir que les Éditions Alain Stanké ont été vendu au groupe Québécor. Dans la même semaine, le Journal de Montréal fait donc la promotion de livres qu’il publie lui-même. Il en fait la une du Journal de Montréal comme s’il n’y avait aucune autre nouvelle importante au Québec.

Le Journal de Montréal aurait pu se donner des pages de publicité ou inscrire publi-reportage.

Est-ce cela la définition d’un conflit d’intérêt? Comment le rédacteur en chef, Dany Doucet, a pris la décision de mandater Brigitte McCann et Valérie Dufour pour faire ses reportages? Est-ce une commande directe de Pierre Karl Péladeau? Ou de l’un de ses sbires qui lui veut son bien parce qu’il serait à la commission sur la vente de livres? Comment on réagit Brigitte McCann et Valérie Dufour en tant que journalistes devant ses commandes? Encore une fois, il faut se souvenir que Brigitte McCann avait vécu le même avantage lorsqu’elle avait publié son livre sur la secte de Rael.

Pendant ce temps, les citoyens attendent des journalistes des nouvelles de ce qui se passent dans leur communauté et dans le monde.

http://journaldelarue.wordpress.com/2006/10/13/quand-une-croupiere-sen-va-t-en-guerre-histoire-deleonore-mainguy/


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