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Publié le 19 avril 2007 par Raymond Viger

Le Slam est foncièrement européen. Mais depuis l’an dernier, les différents échanges entre les jeunes ont permis de faire connaître et apprécié le Slam. J’ai eu l’occasion d’entendre Monk-e1, un artiste montréalais, faire maintenant du Slam, en plus du Rap et du graffiti où il excelle. Le Slam a l’avantage d’être plus compréhensible et plus universel pour un public plus large.

Aider Audrey dans sa visite artistique à Montréal n’est pas une première pour le Café-Graffiti. Nous sommes devenu une agence touristique pour des jeunes provenant de plusieurs pays et qui veulent prendre contact avec nos jeunes. Cela a permis des échanges très fructueux et brise l’isolement des artistes.