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Publié le 20 avril 2007 par Raymond Viger

Au dire de ses dirigeants, le graffiti se vit, ou plutôt meurt, différemment en France qu’à Montréal. Ils considèrent qu’en France les graffiteurs ne réalisent pas qu’ils peuvent gagner leur vie avec leur art. Quand le jeune veut se marier ou faire quelque chose dans la vie, il abandonnerait les bombes aérosols pour devenir un employé et un citoyen conventionnel. Les opportunités de faire commerce avec son art en France seraient beaucoup moins grande qu’à Montréal, toujours au dire des dirigeants de Commun’Arts. Les contrats que nous avons réalisés au Café-Graffiti semblent utopique pour les gens du Commun’Arts.

Cette prise de position ne fait cependant pas l’unanimité chez plusieurs graffiteurs rencontrés. Plusieurs ont décidé de faire du graffiti une carrière professionnelle. Un beau débat à suivre sur l’avenir du graffiti en France.

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Arpi:


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