journaldelarue

Publié le 22 avril 2007 par Raymond Viger

Il y a peu de graffiteurs au Pérou. Ceux qui pourraient venir visiter l’Europe pendant 2 mois ont déjà une dizaine d’années d’expérience dans le monde du graffiti.

Quelques règles administrative et de gestion ont ressorti pendant cette rencontre. Vis-à-vis les objectifs à atteindre pour réaliser un tel projet, il faut se donner quelques paramètres qui nous permettrons de continuer ou de prendre la décision de se retirer.

Une date butoir. La date à laquelle je n’ai plus le temps d’organiser l’évènement. Je dois définir la liste des choses que je dois avoir avant cette date, sinon l’évènement est cancellé. Exemple: confirmation de budget (autofinancement ou subvention), permis nécessaire, hébergement…

Cette date butoir nous permet de définir une liste qui doit être concrète et spécifique. Le budget nécessaire pour la réalisation de l’évènement doit être connu. Nous devons pouvoir demeurer libre de canceller à cette date l’activité. Nous ne pouvons donc pas nous engager dans des dépenses avant la confirmation que nous avons atteint les objectifs. On peut aussi appeler cela le “Go-no go” ou encore le point de non-retour.

Je ne sais pas encore si le projet va pouvoir se faire en 2007 comme elle espérait le faire. Elle a maintenant de meilleurs outils pour prendre sa décision. J’ai vu des étincelles dans ses yeux. Ce que j’ai n’est qu’une confirmation de ce qu’elle pensait déjà. Notre petite voix intérieure possède beaucoup de réponses à nos questions.

Pour rejoindre le Café-Graffiti: (514) 259-6900

http://raymondviger.wordpress.com/2007/09/19/le-graffiti-france-perou-avec-melan-de-lassociation-zomeka/

Textes sur le graffiti et le Hip Hop.

Autres textes sur le Graffiti:

Arpi: