journaldelarue

Publié le 15 mai 2007 par Raymond Viger

Notre lectorat est composé autant de jeunes de 12 à 13 ans que de parents et de grand-parents. Nous sommes lu dans les écoles. Nos textes servent même de référence pour le ministère de l’éducation autant au Québec qu’en Ontario. Nous avons des limites différentes d’un magazine tel qu’Urbania. Guillaume veut bien argumenter en mentionnant que plusieurs de ces couvertures ont gagné des prix, le respect de notre lectorat doit primer.

Cet événement a remis en question une fois de plus nos façons de faire. Un débat qui nous a demandé de consulter nos partenaires et des gens impliqués dans notre vision éditoriale. Ne vous inquiétez pas, le magazine Urbania va être présenté dans notre chronique. Avec des pages couvertures différentes.