Pour répondre à ces arguments nébuleux, j’ai même appelé la chercheure cité par le Journal de Montréal et reçue une lettre de sa part mentionnant que le titre de la une ne correspondait en rien à la recherche qu’elle avait réalisée.
Le Conseil de presse a tranché et donné un blâme au Journal de Montréal pour son titrage exagéré et sensationnaliste.