On a réussi à trouver 110 milliards pour la Grèce.
Saura-t-on trouver 280 milliards pour l’Espagne ? En tout cas, une rumeur (que je contribue à salement propager, mais bon, c’est mon côté cynique, vilain, méchant, pas beau) semble indiquer que le royaume ibérique n’est pas au mieux question trésorerie, au point de donner des bouffées de chaleur à la bourse de Madrid.
Le risque d’une dégradation de la note souveraine continue à planer et se fait plus aigu.
On peut légitimement se demander pourquoi les gouvernements s’entêtent dans des plans de relances coûteux…