journaldelarue

Publié le 11 juin 2007 par Raymond Viger

Ce n’est pas parce qu’on habite à 3 600 mètres d’altitude qu’on est acclimaté au manque d’oxygène. Ni parce qu’on y est né, qu’on s’y fait ! Environ 200 000 hommes de La Paz, en Bolivie, souffrent du mal chronique de l’altitude.

Cette maladie fait suffoquer les cellules de leurs corps en permanence. Non seulement, ces cellules manquent d’oxygène, mais elles s’empoisonnent avec le gaz carbonique qu’elles produisent ne pouvant l’évacuer adéquatement dans le sang. Les poumons ne ventilent pas suffisamment causant une cascade néfaste.