Cela m’a fait réalisé qu’il y a peut-être abus du sous-titrage. J’ai été pendant de longue période à être obligé de traduire. Pour quelqu’un qui doit lire les titres, cela lui fait manquer le charme du visuel, son attention étant limité aux sous-titrages.
Désolé M. Huard. Malgré le titre de meilleur film québécois que je vous ai déjà attribué dans une chronique antérieure, je dois mettre une bémol.
http://raymondviger.wordpress.com/2006/08/13/patrick-huard-bon-cop-bad-cop-et-le-cinema-quebecois/