journaldelarue

Publié le 08 août 2007 par Raymond Viger

Donc, quand on se déplace, on y met le paquet pour vivre une aventure qui mérite d’être vécu. Nous aurons à nous en souvenir pour le restant de l’année. Ou presque. Nous ne sommes pas des workaholic. Cette année nous aurons le droit de prendre quelques week-end!

Est-ce que nous aimons l’humour de François Morency? Je ne pourrais pas vous le dire à ce stade-ci. Cela fait partie de la découverte que nous allons faire. Nous profitons de cet instant pour découvrir un humoriste, l’ambiance des chapiteaux qui les accueillent.

Prévoyant comme je suis, je m’attendais de trouver une chambre facilement après le spectacle. Comme si tous les endroits touristiques n’avaient que cela à attendre que Danielle et moi réservions une chambre. Lorsque Lyne me mentionne que les chambres peuvent être rares et difficiles à trouver, je me risque à prendre le téléphone et tenter une réservation. Moi qui aime l’improvisation, j’ai beaucoup de difficultés à planifier à l’avance mes déplacements. Mais bon, avec un spectacle qui finit à 23:00 heures, je n’aurais sûrement pas le goût de parcourir tous les Cantons de l’est pour trouver cette fameuse chambre.

Je téléphone à l’auberge du château Bromont pour faire ma réservation. Cette auberge est juste à côté du chapiteau. De plus, j’ai pris des billets qui incluent un souper à leur restaurant. Pourquoi coucher ailleurs quand tout se retrouve à quelques pas?

Malheur et damnation, toutes les chambres sont prises. On me conseille d’appeller à l’office touristique de la région. On me réfère au dernier endroit ou il y aurait des chambres de disponibles. Le malheur me frappe encore. Aucune chambre disponible. Je rappelle l’officie touristique. On me trouve un autre téléphone d’un nouvel auberge qui aurait “peut-être” des places disponibles; les jardins intérieurs du lac. Je vais devoir me payer un quinze minutes d’automobiles pour bénéficier de leur service.