L'économie verte à l'honneur de l'édition 2010 des Champions de la Terre
Les Champions de la Terre 2010 réunis le avril à Séoul (République de Corée).
Le prix des Champions de la Terre de cette année a été accompagné pour la première fois d'un prix en espèces de 40 000 dollars, pour chacun des gagnants des différentes catégories. A côté du trophée spécialement commandée et créée par le célèbre artiste chinois, Yuan Xikun, "on retrouve un prix en argent qui sert d'incitation et de ressources pour la croissance et la reconduction des travaux des lauréats et leur impact sur les communautés qu'ils desservent", note le PNUE.
Ils sont originaires de l'Afghanistan, de la Chine, de Guyane, d'Inde, du Japon et des Maldives. Qui sont ces hommes et femmes reconnus comme étant des piliers de la transition vers une économie verte pour le 21ème siècle ?
La cérémonie des prix des Champions de la Terre a été créée en 2004, par le Programme des Nations Unies pour l'environnement (PNUE) afin de récompenser des individus qui incarnent l'engagement et la vision vers le leadership environnemental grâce à leur action et leur influence. À ce jour, le prix a été décerné à 34 chefs de file environnementaux dont Al Gore, l'ancien vice-président démocrate américain et prix nobel de la paix.
Les différentes catégories de prix de l'édition 2010 sont la vision entrepreneuriale, la politique et le leadership, la science et l'innovation, l'inspiration et l'action. Une catégorie spéciale a été ajoutée cette année ; la biodiversité et la gestion des écosystèmes.
Découvrez les six Champions de la Terre, issus du monde des affaires, de gouvernement, de la science ou encore du secteur du divertissement, récompensés le 22 avril dernier, à Séoul en République de Corée, lors de la Journée de Terre, par Achim Steiner, sous-secrétaire général des Nations Unies et directeur exécutif du Programme des Nations Unies pour l'Environnement (PNUE).
" Les six lauréats symbolisent quelques-uns des principaux piliers sur lesquels la société peut construire une croissance verte et un développement qui unit six milliards de personnes, au lieu de les diviser ", a-t-il déclaré.