J’ai eu le plaisir vendredi dernier (02/04/2010) de me rendre à La Grande Comédie (40 rue de Clichy – Paris) comme cela commence à devenir une habitude tous les 15 jours, pour assister à un spectacle, joué à deux, intitulé Homme Femme Mode d’emploi.
Ces dernières semaines, j’aurai vu « Le clan des divorcés » puis « Le grand amour », ensuite « Un couple parfait (enfin presque) », dans un autre registre « Chat en poche » et pour finir « Homme Femme Mode d’emploi ». [Y aurait-il une logique à cette séquence ?].
J’apprécie particulièrement être le témoin de la manière dont les artistes utilisent tout ou partie de leur corps (bien que je sois moins sensible à ceux qui ne font l’usage que de leur voix pour le chant par exemple).
Mon amie Douceline DERREAL aurait certainement joué le rôle à merveille mais je dois reconnaître que j’ai trouvé le jeu de Julie Rippert très intéressant et passé un excellent moment. J’ai souri, ri et ai même oublié les tracasseries d’une semaine de travail bien chargée.
Dans cette forme de théâtre, les acteurs n’hésitent pas à prendre a parti leurs spectateurs, à leur plus grand étonnement et ravissement.
Je souhaite à ces deux artistes la longévité qu’ils méritent et m’exécute par ce billet à parler d’eux en bien (« ou alors à ne rien dire » pour reprendre une de leurs assertions). Je dédicace aussi cet article au plus adorable guichetier que j’ai jamais eu l’occasion de croiser.
Dans une critique vous lirez :
« Julie Rippert est débordante de vitalité, le spectacle est rythmé. Elle passe avec une grande aisance du rôle de la femme à celui de l’homme, et même si le trait est forcé nous avons passé un bon moment à rire de ce qui empoisonne le couple au quotidien. Très surprise d’apprendre que l’auteur est un homme .