Magazine

raymondviger

Publié le 14 mars 2007 par Raymondviger

Disney on ice, le Centre Bell et les hot-dogs

Février, c’est la fête à Danielle. Puisque nous travaillons très fort, j’ai décidé de lui offrir un petit instant de répit. Une soirée au Centre Bell pour assister au spectacle Disney on ice. D’un côté, elle adore le patinage de fantaisie, elle aime bien les réalisations de Walt Disney et en plus, le spectacle est mis en scène par René Simard. Avec la belle soirée que nous avions eu au Théâtre St-Denis avec Motown, je pouvais m’attendre à passer une belle soirée.

C’était la première fois que je mettais les pieds au Centre Bell. Vous avez deviné que je ne suis pas un fan des Canadiens de Montréal. L’architecture du Centre Bell est plaisante, l’entrée se fait facilement et nous pouvons trouver aisément nos places. Une déception, la largeur des sièges. Un peu serré. Une surprise qui me laisse encore bouche bée: le prix des aliments et boissons. Deux hot-dogs, un sac de chips et une bouteille d’eau 12$! Carmel, le beau-frère me mentionne que la bière est à 9$! Soit qu’ils exagèrent, soit que je ne sort pas souvent.

Je suis bien capable de me retenir quelques heures. Mais si j’étais accompagné de jeunes enfants, je ne suis pas convaincu que j’aurais eu du plaisir à leur faire comprendre que c’est beaucoup trop cher pour de vulgaires rotteux! Évidemment, c’est le genre d’occasion où le père de famille peut se laisser attendrir et agir contre ses principes et ses valeurs. Qu’est-ce qu’on ne ferait pas pour faire plaisir à ses enfants.

Autant j’ai été émerveillé par la mise en scène de René Simard dans Motown, autant j’ai été déçu dans Disney on Ice. Disney a un nom, une réputation. Je m’attendais à ce que René Simard jouisse d’un budget et de moyens techniques assez prodigieux. J’ai été déçu.

Même si le sourire et l’enthousiasme de Danielle ont été au rendez-vous, je m’attendais à voir plus de patin. Les décors y étaient, mais il y avait des longueurs. J’aurais aimé voir plus d’accrobaties en patin. Finalement, le spectacle aurait pu se dérouler sur une scène, tout le monde en souliers de course et ça aurait été du pareil au même. La magie était plus pour les enfants qui voulaient voir leurs vedettes. La fantaisie du patin n’était pas au rendez-vous.

Une rumeur circule comme quoi René Simard serait prochainement repêché par Guy Laliberté et le Cirque du Soleil. M. Simard aura peut-être une belle occasion de nous montrer ses capacités de metteur en scène.

Ce billet, ainsi que toutes les archives du magazine Reflet de Société sont publiés pour vous être offert gracieusement. Pour nous permettre de continuer la publication des textes ainsi que notre intervention auprès des jeunes, dans la mesure où vous en êtes capable, nous vous suggérons de faire un don de 25 sous  par article que vous lisez et que vous avez apprécié.

Merci de votre soutien.

PUBLICITÉ

poesie-urbaine-jean-simon-brisebois-art-de-la-rue Poésie urbaine. L’âme de l’ange. Jean-Simon Brisebois.

À chaque mort, une naissance. À chaque naissance, un combat! Recueil de pensées et de poésies influencé par le béton, la rue et son vécu urbain. De jour et de nuit, la vie continue, se transforme. À travers les ombres et pénombres, elle se colore de différentes nuances de gris.

Disponible par téléphone: (514) 256-9000, en région: 1-877-256-9009
Par Internet: http://www.editionstnt.com/Livres.html
Par la poste: Reflet de Société 4233 Ste-Catherine Est Montréal, Qc. H1V 1X4.

Lettrage, bannière et T-Shirt promotionnel.

http://raymondviger.wordpress.com/2007/02/05/motown-generation-et-rene-simard-au-theatre-st-denis/

http://raymondviger.wordpress.com/2006/08/13/patrick-huard-bon-cop-bad-cop-et-le-cinema-quebecois/


Retour à La Une de Logo Paperblog

A propos de l’auteur


Raymondviger 8679 partages Voir son profil
Voir son blog

l'auteur n'a pas encore renseigné son compte l'auteur n'a pas encore renseigné son compte