Paru en novembre 2008 aux éditions Livre de Poche
Catherine Dufour est née en 1966. Elle a commencé à écrire des poèmes à l'âge de 7 ans. Cinq ans plus tard, elle apprend que les poètes finissent tous trafiquant d'armes : elle jette ses poèmes et commence à écrire des nouvelles. Vingt ans et quelques prix plus tard, elle découvre Terry Pratchett, et décide de tout recommencer à zéro. Ainsi maîtra son cycle Quand les dieux buvaient ( prix Merlin), qui l'a imposée, avec son roman de science-fiction Le go^t de l'immortalité (prix Bob-Morane, Rosny aîné, prix du Lundi et Grand prix de l'Imaginaire), comme une figure centrale de l'imaginaire actuel français.
Quatrième de couverture
Tous les contes commencent par " il était une fois" et finissent par " ils se marièrent et aurent beaucoup d'enfants". Oui mais...et après ? Et si le règne de Blanche-Neige avait été une horrible dictature ? Et si le miroir magique était devenu gâteux ? Et si Peau d'âneétait tombée amoureuse du prince de Cendrillon ? Une poignée de fées du bois de Boulogne, une bande de spectres, le Père-Noël et sa fille, l'Ankou et sa faux, le Petit Chaperon rouge et l'affreux Bille Guette suffiront-ils à sauver le monde du chaos ?
Un cycle foisonnant de trouvailles, en forme d'hommage à Terry Pratchett et aux Monty Python, et qui puise dans la matière des contes de fées tels qu'on ne les a jamais lus !
Appréciations personnelles:
Cet ouvrage se découpe en deux parties: d'abord Les grands alcooliques divins puis L'ivresse des providers.
Cet avis, je le démarre alors que je n'ai pas encore terminé ma lecture car la première partie, je l'ai trouvé plutôt pas si mal mais ne parvenant pas à terminer la seconde, je voulais que mon avis reste objectif.
Alors voilà pour les grands alcooliques divins, j'ai trouvé ce récit très original, à défaut d'être comique. En effet, on retrouve des personnages qui ont bercé notre enfance dans des situations assez cocasses et il faut avouer que cela fait sourire dans diverses parties du texte.
Cependant je pensais me retrouver dans quelque chose de véritablement drôle mais la complexité du style d'écriture de l'auteur, Catherine Dufour, est un vrai enfer. En effet, le vocabulaire est décalé ou imaginé, les jeux de mots sont très présents et ils saturent un peu notre intellect au défaut de l'histoire et dun éventuel attachement aux personnages.
Bon j'ai quand même dit que je trouvais cette partie de ce livre plutôt pas mal alors je m'explique. L'intrigue est très originale et la profusion de personnages qui ont une aventure propre et qui se retrouve emméler à la fin totalement chaotique est assez bien ficelée au fond.
Je pense, mais je ne suis pas sûre d'en avoir le courage que je devrais beaucoup plus apprécier cet ouvrage lors d'une relecture.
En ce qui concerne la seconde partie qui appartient beaucoup plus à la science-fiction qu'à la fantasy, L'ivresse des providers est vraiment déroutante. Cette lecture m'a apru ennuyeuse même si de temps en temps une pointe d'intêret se réveillait en moi ; mais franchement non je n'ai absolument pas adhérer à ce style.
L'écriture est décalée, on ne comprend pas forcément pourquoi on séparpille dans des temps divers et des personnages différents. Même si tout se retrouve à la fin, j'ai vraiment trouvé cela très brouillon et cela m'a déplu.
Cela aurait pu être possible de s'attacher à Cid ou Pimprenouche, les fées, ou Evariste, le spectre intellectuel ou encore Mismas, pauvre humaine dans tout cela; mais non rien....
C'est donc pleine de déception que je termine cet avis , j'avais entendu que c'était une oeuvre à découvrir et je ne suis pas sûre de la conseiller à d'autres lecteurs mais voici l'avis d'une Livradicctienne Phooka qui ne partage le mien.
NOTE : 5 / 10
J'ai découvert cet ouvrage dans le cadre du challenge ABC 2010, merci à eux de m'avoir permis de me faire un avis sur cette oeuvre.
Article ajouté le 2010-04-30 , consulté 5 fois