Journalisme étudiant, congrès Libre expression
Vendredi 19 octobre 2007, je suis invité à prononcer la conférence d’ouverture pour le congrès provincial de journalisme étudiant, le congrès Libre expression.
Organisé pour une 2e année au Cegep Ste-Hyacinthe, ce congrès réunit une soixantaine d’étudiants qui font du journalisme dans leur Cegep et université. L’invitation aux journaux universitaires est nouvelle de cette année. L’an prochain l’invitation s’étendra possiblement aussi aux radios étudiantes. Wow! Ça bouge en grand.
La conférence a lieu dans un bar, le Bilboquet. Avant le début de la conférence, j’étais quelque peu effrayé par cette salle. D’une part, les sièges ne pouvaient être disposés devant moi, j’ai dû faire quelques acrobaties pour regarder tout le monde. D’autre part, on m’avait installé un micro, nouvelle technologie, celui qui fait le tour des oreilles et dont le micro se retrouve en permanence à quelques centimètres de votre bouche. Le genre de micro qui t’empêche de t’éclaircir la voix. C’était la première fois que j’utilisais cette technologie. Finalement, je devais demeurer debout, loin d’une table et d’un papier pour prendre des notes.
Malgré ces handicaps, je pense avoir donné un bon spectacle et avoir gardé mon public en haleine. J’ai eu plusieurs questions très pertinentes, autant pendant qu’après la conférence. Je crois que ma présence aura permis d’aider plusieurs à définir leur vocation. J’ai bien apprécié les inter-relations avec les étudiants en journalisme et je me suis bien amusé à donner cette conférence.
Un tel congrès provincial permet aux journalistes étudiants de briser leur isolement et de les soutenir avec différentes formations. Félicitations à tous les journalistes étudiants. Continuez votre bon travail et votre implication.
J’ai cependant pris un coup de vieux au retour. J’étais accompagné de Gabriel Alexandre-Gosselin, notre nouveau journaliste qui va couvrir les régions. Étant un ancien de Ste-Hyacinthe, lorsque nous avons pris le boulevard Girouard, je lui ai demandé si ce boulevard avait été nommé en l’honneur de Gaétan Girouard. Il m’a demandé qui était Gaétan Girouard! J’ai essayé de lui expliquer que c’était le journaliste de l’émission JE. Ça ne lui a pas sonné de cloches. Gabriel était trop jeune à l’époque de Gaétan Girouard pour l’avoir connu. Pourtant, j’avais l’impression que c’était hier…
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Poésie urbaine. Je me raconte. Jean-Simon Brisebois. Depuis 1997 Jean-Simon s’est découvert un goût pour l’écriture. Après avoir publié une trilogie poétique aux Éditions TNT(Entité en 2008, L’âme de l’ange en 2007 et Renaissance en 2006), plusieurs de ses lecteurs étaient curieux de savoir lesquels de ces textes parlaient le plus de lui. Il revient donc en force avec Je me raconte, un court récit autobiographique. Laissez-vous guider dans le monde particulier de ce jeune auteur! 7$
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