Oui, j’étais censée relater un tant soit peu l’ambiance du festival à Beaune. J’ai même déjà écrit quelque chose à ce sujet… Mais je ne peux pas télécharger les photos qui vont de pair…ridicule n’est-ce pas ? Un problème technique, simple et bête me coupe dans mon élan. Il va donc falloir attendre pour la partie concernant Beaune. Fort heureusement les albums souvenirs sont des biens intemporels. En attendant, jusqu’à je ne sais pas quand, j’ai décidé de rester dans le ton : polar, policier, mystère et boule de gomme…
Résumé :
De Paris à New York en passant par Londres et la Nouvelle-Angleterre, entre services secrets, réseaux terroristes et scientifiques corrompus, une machination infernale orchestrée par un Harlan Coben au sommet de son art.
Ancien sportif reconverti dans les relations publiques, Myron tombe des nues quand il reçoit l’appel de Terese, dont il est sans nouvelles depuis sept ans.
« Rejoins-moi. Fais vite… »
À peine arrivé à Paris, le cauchemar commence…Qui en veut à la vie de Terese ? Quels secrets lui a-t-elle cachés ? Pourquoi le Mossad, Interpol et la CIA les traquent-ils sans relâche ? Enlèvements, manipulations génétiques, meurtres, menace islamiste, complots internationaux… Un suspense au cœur d’une actualité brûlante, par le maître de vos nuits blanches.
Cela fait un temps certain que je n’ai pas lu de roman policier. Pourquoi ne pas y revenir avec Sans laisser d’adresse ?
Le dernier ouvrage de Harlan Coben se lit avec plaisir et n’a d’autre prétention que de faire passer un bon moment. Certes, il y a parfois un petit peu trop de… tout (sentiments, grandiloquence, luxe, coolitude) mais les personnages récurrents – Myron Bolitar et ses amis – somme toute attachants, nous poussent à poursuivre. L’auteur arrive alors à nous prendre dans ses filets. Attention il ne s’agit pas d’un suspense haletant mais plutôt d’une technique d’écriture entretenue autour du sentiment d’indiscrétion : on est curieux, on veut savoir.
Bien évidemment, le roman est très « visuel » déjà prêt à être transposé sur grand écran. Même si les passages par Paris, Londres pour revenir à New York (Bangkok quant à elle n’est que citée, plusieurs fois tout de même…) sont loin d’être essentiels au déroulement de l’histoire, ils ajoutent simplement l’indispensable, un petit goût de dépaysement un brin kitsch. James Bond doit voyager. SAS aussi. Il n’y a à la rigueur que le commissaire Maigret ou Miss Marple pour être trop casaniers (quoique…).
Et puis, la scène du bar londonien : Breakfast Club j’ai presque envie de dire « Mon » film à l’époque. Bananarama, Wham… Back to the Eigthies… J’aime !
Sans laisser d’adresse chez Belfond
Merci à Romane de Athomedia !
• CREDIT PHOTO | BELFOND.fr •
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