Grand temple invisible (Georges Bernanos)

Par Arbrealettres


Mais j’imagine le silence de certaines âmes comme d’immenses lieux d’asile.
Les pauvres pécheurs, à bout de forces, y entrent à tâtons,
s’y endorment, et repartent consolés
sans garder aucun souvenir du grand temple invisible
où ils ont déposé un moment leur fardeau.

(Georges Bernanos)