Les écureuils de Central Park sont tristes le lundi. Mais pourquoi ? Voila une question que peu de personnes se sont posées mais à laquelle Katherine Pancol se propose de répondre.
Dans ce dernier tome nous continuons de suivre le destin de Joséphine et Philippe, mais aussi d’Hortense et de Gary, de Zoé et Gaétan, de Josiane et Marcel. Nous retrouvons avec plaisir Shirley, Alexandre, et avec moins de plaisir Henriette et Chaval. De nouveaux personnages font leur entrée comme Junior, le fil de Josiane et Marcel ou encore Becca. Tous les héros de Katherine Pancol sont bien là pour cette dernière valse de la vie.
Des personnages attachants qu’il est bon de retrouver. Ce dernier tome est volumineux mais il ne m’a pas fallu une semaine pour en venir à bout ! Impossible de décrocher, un peu comme une drogue. Katherine Pancol passe toujours d’un personnage à un autre avec autant d’aisance. On retrouve les mêmes ingrédients qui ont fait le succès de la saga à savoir l’optimiste, la sensibilité et de l’humour. Pourtant j’ai été assez déçue de la fin qui me semble assez bâclée, invraisemblable et trop rapide. Le personnage de Junior est attachant mais son talent de télépathe à 3ans est vraiment tiré par les cheveux et il est dommage que l’auteure se serve de ce prétendu don pour terminer sa trilogie qui jusque là faisait intervenir des personnages auxquels on pouvait s’identifier.
Pour ceux qui aurait oublié le dénouement du deuxième tome, voici dans les grandes lignes où nous avions laissé nos héros :
Iris est morte alors que Philippe entamait un début de relation avec Joséphine. Cette disparition va-t-elle avec un impact sur leur couple ?
Gary, Hortense, Philippe et Shirley sont à Londres alors que Joséphine reste à Paris avec sa fille cadette Zoé. Hortense est toujours déterminée à réussir dans la mode coûte que coûte.
Josiane a accouché de son premier enfant avec Marcel mais Henriette ne semble pas digérer son divorce et reste une menace.