L'obsession
L'obsession remonterait il y a longtemps, mais le summum de la crise daterait de l'après guerre, lorsque les femmes ont vraiment commencé à s'occuper de leur foyers, avec les publicités et la presse féminine qui donnaient tous les secrets pour être la parfaite femme au foyer
Si désormais, la société a évolué et les femmes se sont émancipées, cette réalité de l'époque est restée la même, la femme d'aujourd'hui, même avec un travail dans lequel elle doit briller, doit être une bonne maîtresse de maison. Une notion qui englobe celle de la mère parfaite, de la bonne épouse et amante à l'apparence soignée et de la maison tirée à quatre épingles. Car si par malheur une femme ne remplit pas tous ces critères, elle est bien souvent pointée du doigt, que ce soit par son entourage ou par elle même.
Pouvons-nous réellement être parfaites? La réponse est négative, et quand bien même le contraire serait possible, pourquoi l'être? Ne pouvons-nous pas tout simplement être heureuse sans être parfaite,et enfin s'accepter telle que l'on est ? Il est évidemment possible de vivre heureuse sans être parfaite, mais pour y parvenir et ne plus laisser ces pensées trop dures envahir et gérer notre vie, il faut faire un travail sur soi.
Penser autrement: si vous avez des pensées négatives, vous diminuez votre capacité à vous sentir heureuse... Prenez l'habitude de vous concentrer sur les points positifs. En étant moins dure avec vous-même, vous vous sentirez plus heureuse.
Une fois que vous y êtes arrivée, écrivez-les pour en prendre conscience et remettez-les en question, par exemple: cette pensée est-elle bien réelle, quelles en sont les preuves, ne suis-je pas en train d'exagérer la situation, etc. Une fois remises en questions, ces mauvaises pensées s'éliminent et ne vous tracassent plus.
Un autre moyen de venir à bout de ces tracas, le rire est très bénéfique. Riez de vous-même! Vous verrez le résultat, est forcément positif!
L'obsession
L'obsession remonterait il y a longtemps, mais le summum de la crise daterait de l'après guerre, lorsque les femmes ont vraiment commencé à s'occuper de leur foyers, avec les publicités et la presse féminine qui donnaient tous les secrets pour être la parfaite femme au foyer
Si désormais, la société a évolué et les femmes se sont émancipées, cette réalité de l'époque est restée la même, la femme d'aujourd'hui, même avec un travail dans lequel elle doit briller, doit être une bonne maîtresse de maison. Une notion qui englobe celle de la mère parfaite, de la bonne épouse et amante à l'apparence soignée et de la maison tirée à quatre épingles. Car si par malheur une femme ne remplit pas tous ces critères, elle est bien souvent pointée du doigt, que ce soit par son entourage ou par elle même.
Pouvons-nous réellement être parfaites? La réponse est négative, et quand bien même le contraire serait possible, pourquoi l'être? Ne pouvons-nous pas tout simplement être heureuse sans être parfaite,et enfin s'accepter telle que l'on est ? Il est évidemment possible de vivre heureuse sans être parfaite, mais pour y parvenir et ne plus laisser ces pensées trop dures envahir et gérer notre vie, il faut faire un travail sur soi.
Penser autrement: si vous avez des pensées négatives, vous diminuez votre capacité à vous sentir heureuse... Prenez l'habitude de vous concentrer sur les points positifs. En étant moins dure avec vous-même, vous vous sentirez plus heureuse.
Une fois que vous y êtes arrivée, écrivez-les pour en prendre conscience et remettez-les en question, par exemple: cette pensée est-elle bien réelle, quelles en sont les preuves, ne suis-je pas en train d'exagérer la situation, etc. Une fois remises en questions, ces mauvaises pensées s'éliminent et ne vous tracassent plus.
Un autre moyen de venir à bout de ces tracas, le rire est très bénéfique. Riez de vous-même! Vous verrez le résultat, est forcément positif!