Maxime Bernier aimerait mener notre grand pays grâce au savoir lucide et pénétrant des dictats conservateurs. En d’autres mots le gars s’ennuie, et son charme pénétrant a besoin de nouveaux défis.
Maxime Bernier, ridiculement connu pour son double rôle de poster boy beauceron et de loverboy cheapo, veut revenir dans la cabine de pilotage d’où il fut éjecté pour une couillardiserie un peu totonne.
Alors Maxime Bernier, contre-attaque avec toute sa superbe et nous lance des perles qui brillent comme celle-ci sur l’orientation de l’état québécois :
« Imaginez si, au lieu de débattre inutilement d’indépendance politique, on cherchait des façons de vivre selon nos moyens et de sortir de notre dépendance économique.»
Traduction libre, imaginez si les québécois fermaient leur yeules comment tout fonctionnerait bien. Parce qu’il y a là une grande vérité, c’est parce qu’on parle de souveraineté que les CHUM ne se construit pas, que l’échangeur Turcot ne se construit pas, que la construction surfacture 20% au gouvernement qui accepte le jeu, que les jeunes décrochent et que les immigrants décident de préférer l’anglais à Montréal, c’est tellement parce qu’on ne parle que de ça, vraiment, non mais vraiment, qu’est ce qu’on attend pour lui confectionner un costume de capitaine Canada?