Haïti oublié, la grève SNCF essoufflée, le volcan islandais calmé, il fallait bien que les mouches médiatiques se trouvent une autre proie.
Elles l'ont trouvée. C'est Franck Ribéry.
Toute la presse charognarde unanime se jette sur ce pauvre gamin avec le secret espoir de le briser, au figuré ou, pourquoi pas, au propre, ce qui permettrait de faire de longs et pathétiques commentaires.
Pourquoi finalement ?
Allons messieurs les journalistes, encore un petit effort et vous allez y arriver. Tous les espoirs vous sont permis, pensez à Roger Salengro.