Je connais un endroit (Evelyne Pernel)

Par Arbrealettres


Je connais un endroit, à l’abri de la ville,
où l’on peut vivre heureux.
Tu t’endors près de moi
sur un lit de bruyères,
De l’amour sous tes paupières closes
et la nuit, douce et apaisante,
descend comme une ombre sur nos têtes.

Il n’y a pas de larme,
Il n’y a pas de cri,

seulement et doucement toi et moi.

(Evelyne Pernel)