Les fournisseurs de solutions de type cloud computing ont longtemps entrevu les banques et traders comme des clients potentiels. Mais s’ils étaient en réalité des concurrents ?
Le constat est très simple : après la fermeture des marchés, les machines restent inactives jusqu’à la prochaine ouverture. Si les banques décidaient de vendre la puissance de calcul inutilisée, elles pourraient rentabiliser plus rapidement leurs installations. Bien évidemment, il faut que les clients n’aient pas besoin continuellement de cette puissance, mais uniquement ponctuellement.
Deux solutions peuvent être exploitées : soit les banques décident de vendre leur puissance à tout le monde, comme Amazon, sans accès physique aux datacenters, pour des questions de sécurité. Seconde option : les banques pourraient utiliser elles-mêmes cette puissance pour des applications ne concernant pas le trading, tel que la paye etc…