23 avril 2010
Sportifs et homosexualité refoulée
Pernicieuse.
On trouve, sur le blog épatant de PP le Moqueur, un article concernant l'homosexualité inavouée de certains sportifs. Ele est certaine et le monde du sport masculin, comme toute micro-société monosexuelle, est fortement teinté d'une homosexualité inavouée, mais patente. Seulement voilà: le refus de l'accepter la rend pernicieuse! Car, avec cette orientation scachée se joue un mépris des femems qui sature l'expression habituelle des sportifs. Et l'on a étouffé, dans certaine fédération, le viol en bande de sportives.
Idole machiste.
Car le partage d'une femme est souvet la manifestation d 'un désir homosexuel qui n'aurait rien de condamnable s'il n'était pas reefoulé, glauquifié, dégueulassé par une morale dissuse vaguement chrétienne, parfulée du remugle du sexisme paulinien, suivant celui du Christ, sensible à Béthanie. Comme dans le mythe de la vierge, idole machiste.
Fuir sa femme.
Chrétien par sa honte, ce naturel homo est éclatant. Vu de l'extérieur. Et va fort bien avec le folklore "anti-pédé" de type militaire ou extrême-droite. Refuser d'être soi, hélas, dans toutes ses composantes ne peut que conduire à des errements regrettables ou criminels.Là où un crétin de footballeur, une andouille de bisasse s'épanouirait en partageant son lit avec un godelureau bien mâle, on voit de pauvres types affublé d'un bobonne que le sport permet de fuir, heureusement. Et c'est souvent le cas des sportifs du dimanche aussi: fuir le foyer, fuire "la patronne", se retrouver "entre copains"! Le syndicalisme et le caritatif peuvent aussi faire l'affaire: le tout est de fuir la femme, SA femme! On ne hait bien que les proches quon est contraint d'aimer!
Encouragements!
Frédéric II, dit-on, encourageait l'homosexualité chez ses soldats. Comme chez les Grecs où elle garantissait la bravoure, chacun devant épater son compagnon. L'idée de Frédéric II était que LA femme "amollit"! Dès qu'elle se refoule, l'homosexualité devient haine des femmes (ou de l'autre sexe), alors que les homos qui s'acceptent, se revendiquent même, les respectent, les aiment....Et c'est assez courant d'entendre une femme dire qu'elle aime leur compagnie!
Déviriliser.
Dans mes commentaires, un correspondant accuse le féminisme d'avoir "dévirilisé" la société. Outre le grotesque de l'assertion, car le féminisme a donné de l'énergie à la mollassonnerie prééxistante faites d'un machisme ordinaire, brutal, mais mou, on sent là ce fond du problèpe: une façon sportive ou militaire de mépriser les femmes.surtout quand elles sont meilleure que bien des hommes! Ceci mote que la mentalité de certains n'est pas libre et jalouse l'avancée de la condition féminine!
Refoulons les refoulements!
C'est le refoulement qui crée l'horreur. Le crime, même. Détester les femmes, ça peut devenir Jack l'Eventreur qui n'aurait peut-être pas tué s'il s'était trouvé dans les bras costauds d'ue solide docker du port de Londres! Bien plus que la musique, ue acceptation par chacun de ses tendaces sexuelles adoucit les moeurs! Les chastes moines inquisiteurs tuaient tranquillement. Une accorte donzelle ou un gentil pastoureau habiles das le déduit les en auraient peut-être dissuadés. La chasteté aussi est perversion sexuelle. Bien glauque, slictueusement visqueuse... C'est la haine! Comme tout refoulement! Comme toute méconnaissance de soi, comme tout refus d'être soi-même! Jouer un rôle c'est mourir plus réellement qu'un acteur au téâtre.Le jouer pour soi même est un lent suicide! Et fait chier l'entourage, salope toutesles relations, pourrit la vie.
Braguettes coincées.
Dans les années suivant mai 68, la libération homo avançait. Et, homo ou non, des manifestants, dont je fus, criaiet l'évidence du refoulement : "anti-pédés, braguettes coincées"...ce qui me faisait penser à certaines fermetures à glissières qui mordent par inadvertance un peu de peau... Petite aventure mâle des plus désagréables.
Envoi:
Vivet Laurel et Hardy, les homos rigolos!