Alors qu’on poursuit le juge Garzon pour sa recherche de la vérité historique sur la guerre d'Espagne, les médias et les élites rendent hommage à l’un des derniers franquistes. le
vénérable Samaranch "membre de la Phalange espagnole traditionaliste et des Juntes offensives nationalsyndicalistes, deux mouvements affidés au leader fasciste José Antonio Primo de Rivera,
il fit une belle carrière dans l'Espagne de Franco dont il salua la mort dans un éloge appuyé («sa prise en main de l'Espagne durant trente-neuf ans a signifié pour elle l'ère de prospérité et de
paix la plus longue que notre pays ait connue»)."(source le figaro)
un fasciste a donc dirigé le sport mondial pendant des années, transformant les JO en « big business », fermant les yeux sur le dopage et les magouilles. Magouillant lui-même.
Rendre hommage, à cet homme, est une insulte pour ceux qui croient encore au véritable esprit sportif.