La seule chose à faire

Le Pélicastre est bon en général, mais là, il se surpasse.

La seule chose à faire est de rejeter en masse tous ces gens. Il n’y a rien à savoir, rien à apprendre, rien à partager. Il n’y a pas de vivre-ensemble, de solidarité, d’union possible. C’est cette unique question là qu’il faut poser. Et il faut y répondre, le plus tôt sera le mieux. Pourquoi s’emmerder avec des gens dont la présence est insupportable ? Par quelle perversion de l’esprit s’oblige-t-on à vivre avec des gens qui ne peuvent ni ne veulent vivre avec nous ?

La suite, c'est là.
C’est vrai ça, pourquoi on s’emmerde avec eux ? Il y en a marre au bout d’un moment. Toujours à geindre, à gémir, à pleurnicher, et le reste du temps à casser, lyncher ou brûler. Dans un sens ou dans l’autre, je ne sais plus.Raciste ? Moi raciste ? Peut-être. Je n’en sais rien. A dire vrai, je m’en balance. En fait non, je ne m’en fous pas. J’ai été élevé dans ce putain de climat de tolérance, de tous frères et d’antiracisme. On m’a donné de l’amour de l’autre dans mes céréales et on m’a gavé avec la Shoah à chaque rencontre familiale. On m’a toujours dit qu’on n’aurait « aucun problème » à ce que j’épouse une noire ou une arabe. (Ce que bien évidemment, ni moi, ni aucun des membres de ma famille n’a fait ni ne fera : on n’épouse que ceux qu’on fréquente.)Qui est ce on ? Ma famille. Mes parents. Mes grands-parents. Oncle et assimilés. Ceux qui ont fait de moi ce que je suis devenu.Après, j’ai bien vu que quand on a quitté la banlieue parisienne toute proprette où j’ai passé mon enfance (pour des raisons professionnelles objectives soit dit en passant), ça commençait à devenir un poil le bordel. Et qu’aujourd’hui, c’est racaille-land. J’ai bien vu au lycée, que ces gens là, les fils et filles de divers, ne se gênent pas pour considérer française et pute comme des synonymes. J’ai été obligé de voir que les chances pour la France avaient non seulement un vocabulaire, mais aussi une capacité de raisonnement des plus limités. Et qu’en plus de cela, ils étaient flattés dans leur bêtise crasse par des profs minables, les pires des collabos, médiocres parmi les médiocres, insultes vivantes à tout ce qui a jamais représenté l’instruction, bref, par des profs disais-je, qui les laissaient proférer les pires bêtises parce que ça flattait leur anti-américanisme primaire et leur antiracisme de bas-étage.
Ca-y-est, je dérive encore. Je m’étais promis, pour une fois, rien que pour une fois, d’envoyer balader mon putain de surmoi antiraciste et de donner libre court à ma haine et à ma colère, mais il faut que je leur trouve encore des excuses.Mais ils en ont des excuses ! C’est ça le pire ! Ces profs minables, ces journaleux de merde, ces politiques qui surfaient sur l’antiracisme alors qu’ils avaient manifestés avec La Rocque dans leur jeunesse, ces pseudos-artistes à la con, sont mille fois plus coupables que le petit abruti de banlieue qui balance des cocktails Molotov sur les pompiers !Mais c’est trop tard. Ca ne sert plus à rien de se demander qui est responsable de quoi, ou à la rigueur pour savoir qui aligner contre un mur. (Et encore, c’est inutile, ils sont tellement nombreux qu’on n’aurait pas assez d’officiers pour commander les pelotons d’exécutions.)C’est trop tard parce que le résultat est là. Et que concrètement, il veut dire que c’est eux ou nous. C’est aussi simple que ça. Les blacks qui se baladent en tenue africaine dans le métro et les beurs qui décrochent le drapeau français place du Capitole pour le remplacer par un drapeau algérien ne sont tout simplement pas compatibles avec la France. C’est l’un ou l’autre, point à la ligne. Toute demi-mesure du type interdiction de la burka n’est que blablatage stérile car ne faisant que retarder un peu l’inévitable.
D’ici quinze ou vingt ans, la France sera beaucoup plus raciste. Un peu comme l’Italie aujourd’hui. Peut-être que c’est mal, peut-être que ça va mener à des horreurs, mais c’est inévitable. Inévitable parce que les enfants d’immigrés font tout pour se rendre haïssable et attirer sur eux le rejet et la violence.Aujourd’hui les victimes d’agressions racistes, de ratonades anti-blancs, ceux qui se font lyncher parce qu’ils existent, restent modérés. Ils continuent de penser normalement. Mais ça va changer. Ca ne peut que changer.
Les responsables ? Vous les connaissez déjà.