Less is more : simplifiez votre newsletter en 4 points

La tentation de tout casser pour tout refaire est souvent grande quand il s’agit de refondre une newsletter.

Et pourtant, si l’on considère qu’une newsletter est un outil qui répond à un besoin d’appels au clic sur des contenus situés sur un site externe, de simples retouches peuvent faire l’affaire.

Faut-il donc envisager une refonte complète ? Rien n’est moins sûr…

Règle n°1 : Réduisez au maximum vos contenus

Vos lecteurs étant tous des êtres humains, ils devront faire un choix parmi une liste de possibles. S’ils ont le choix entre 5 options, ils se feront plus de nœuds dans la tête que si vous leur proposez 3 choix. CQFD.

Règle n°2 : Attention au scrolling

Qu’ils lisent votre newsletter sur un logiciel de mail ou sur un navigateur, la taille de l’écran restera contrainte à une certaine hauteur. Veillez donc à équilibrer les appels de contenus sur la page pour ne pas placer trop de poids sur le premier lien. En effet, la largeur étant contrainte à 510 pixels de large, le scroll arrive très vite … La grande image qui valorise le premier article se fera donc souvent au détriment des 3 suivants.

Règle n°3 : Donnez une vision de votre arborescence

Même si le but premier de la newsletter est d’inviter à lire les articles du mois - pour une fréquence mensuelle s’entend -, il est toujours bon de rafraîchir la mémoire des internautes en leur rappelant a minima le 1er niveau de l’arborescence de votre site. Rappel du design de votre site, valorisation de votre arborescence, mise en avant de vos principaux contenus : les bénéfices sont multiples en rapport de l’espace occupé et l’ “engagement” de vos internautes n’en sera que meilleur.

Règle n°4 : Variez le style éditorial en fonction de vos contenus

En fonction de vos articles, il est bon de tester différents niveaux de discours, puis d’en mesurer les performances. Typiquement, vous valoriserez un contenu avec un impact fort en citant la marque. En revanche, s’il s’agit de décrire un événement inconnu du public, veillez à être plus interjectif vis à vis de vos internautes.

A après-demain