Ils ont osé franchir le pas. Ils ont osé, pour leur système éducatif, renoncer au tout État. Ils ont osé remettre en question le monopole de l’éducation et dire : « Non, l’avenir de nos élèves, la carrière de nos professeurs ne seront pas systématiquement gérés et programmés d’en haut, par un ministère ».
Les Hollandais, les Danois, les Suédois, les Néo-zélandais, les Irlandais, les Thèques, les Chiliens et les Américains sont-ils devenus fous ? Fous d’introduire dans leurs systèmes éducatifs une dose d’autonomie et de responsabilité à l’échelon le plus « bas », celui de l’établissement ?
Ce premier cahier concernant le chèque-éducation propose une revue internationale rapide. Elle interpelle. Alors qu’en France, le chèque-éducation est tabou depuis 30 ans, jugé mercantile voire dangereux, pourquoi de plus en plus de pays n’hésitent-ils ni à en parler, ni à l’essayer ? D’autant qu’il semble bien que les français en avaient eu l’idée les premiers…
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