Ce second épisode de Pékin Express : la route du bout du monde sur M6, est sans nul doute le plus dur depuis la création du jeu. Stéphane Rotenberg a préparé trois jours de parcours, 450 kilomètres pour se rendre à Cuenca et l’ascension d’un volcan de 6300 mètres.
Cette nouvelle étape débute avec le fidèle auto-stop afin de rejoindre le volcan. Les premières tensions apparaissent. Nicolas agresse son copain, « t’es mou », « tu m’énerve » et Sabine est consternée par l’attitude de sa nièce. Stéphanie a la bonne idée d’enlever le haut pour séduire les automobilistes, ce qui a le don d’énerver sa tante : « dans une minute, elle a ma main sur la figure ». Comble de la situation, c’est Sabine qui trouve une voiture.
Après le petit tour en voiture, les voilà face à un sacré morceau, le volcan Chimborazo et ses 6300 mètres d’altitude. Ils doivent rejoindre Baltazar le dernier coupeur de glace qui officie à 4 500 mètres sur l'un des versants du volcan. Les voix de nos candidats font trembler le Chimborazo. Florian ne lâche pas son père qui s’arrête toutes les cinq minutes, prétextant que c’est la meilleure tactique.
Plus les aventuriers grimpent, plus il fait froid et moins il y a d’oxygène. Des paramètres qui les atteignent. Stéphanie et Sabine ne peuvent plus se voir, la tante déclare même « elle et moi, on se sépare ». Sabine n’y arrive pas en cavalier seul et fait appel au médecin du jeu pour finalement abandonner. Les retrouvailles effacent les querelles entre la tante et sa nièce. L’ascension a eu aussi raison du couple gay qui abandonne.
Quant aux autres binômes l’ascension suit son cours sauf qu’au bout d’un moment ils se rendent compte qu’ils montent du mauvais côté. Du coup Anne-Marie et Chloé, Cécilia et Matthieu, Frédéric et Jessica doivent tout recommencer. « C'est pas humain ce truc-là ! », s’exclame Anne-Marie, on veut bien la croire !
Baltazar reçoit la visite des premiers candidats avec en tête Solange. Les binômes doivent apprendre le plus vite possible la technique de Baltazar : emballer les blocs de glace dans des herbes, les enrouler et les attacher à un âne. Après le cours, pas de temps à perdre il faut redescendre. Cecilia et Matthieu et le duo Solange et Hervé arrive les premiers et se qualifient pour l’épreuve d’immunité. Et au jeu du pilage de glace et fabrication de jus de fruit, ce sont les retraités Solange et Hervé qui sont les plus fort. Il se qualifie directement pour la troisième étape.
La nuit tombe et les participants doivent trouver où dormir. Hoang et Quyen sont surpris de voir dans quelle pauvreté vit la famille qui les accueille, tandis que Fabrice et Nicolas, sont embêtés de devoir refuser la nourriture que leur prépare la personne qui les accueille. La moisissure au fond de la casserole a resserré l'estomac Nicolas…
Le lendemain les candidats doivent rejoindre Cuenca, la destination finale de l’étape. Tout le monde fini par trouver une voiture et à 17 heures la balise sonne. Repos pour les randonneurs de l’extrême. Cécilia et Mathieu, Christophe et Florian sont arrêtés dans un lieu désert et profite donc d’une nuit à la belle étoile.
Au réveil, c’est la course ! les candidats doivent rejoindre le plus vite possible Cuenca et une usine de panamas, le chapeau traditionnel. Les équipes y trouveront l’adresse de la ligne d’arrivée.
« L’équipe qui était en tête une heure avant la fin de la course n'est même pas sur le podium d'arrivée », explique même Stéphane Rotenberg. Cela démontre à quel point la course a été intense. Les premiers sont Chloé et Anne-Marie, et les derniers sont Cécilia et Matthieu. Mais, bonne nouvelle, l'épreuve n'est pas éliminatoire ! Les perdants partiront quand même avec un handicap dont on connaitra la nature la semaine prochaine.
Quand on regarde l’émission, on ne peut que féliciter les participants pour leur courage et leur persévérance. Mais aussi pour leur impatience, leurs coups de nerf et leurs engueulades. On en redemande !
D.M.
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