Mais plus important encore, Tremblay accorde toute sa bénédiction aux agissements du beau Jim, car voyez-vous, le gars est un passionné.
Come. On.
L’équipe éditoriale de BIPV s’est toujours montrée sceptique devant l’usage abusif que font les médias sportifs du terme « passion », expression vide et générique qui vise trop souvent à justifier les agissements excessifs, voire répréhensibles de certains individus. Par exemple : Pierre Lambert a trompé Ginette à répétition, mais que voulez-vous, le gars a une « passion » pour les mauvaises actrices Françaises.
C’est cette même « passion » qui a amené Popp a accepter un poste pour lequel il n’avait pas les qualifications requises, un état de fait que le concerné semble difficilement reconnaître, encore aujourd’hui. Tremblay ne semble pas s’en formaliser, encore émoustillé par ce passionné bellâtre qui lui rappelle tant les héros de ses téléséries.
L’équipe de BIPV se questionne encore sur la pertinence de publier les textes de M. Tremblay dans le Cahier des Sports de La Presse, considérant que ses textes portent de moins en moins sur des sujets réellement sportifs, et de plus en plus sur les pleins d’mardes avec qui il se tient (ou avec qui il aimerait se tenir).