Revenant sur la démotion de Jim Popp de son titre d'entraîneur-chef des Alouettes, le truculent Réjean Tremblay nous offre un article digne des lignes ouvertes plattes du dimanche après-midi à CKAC. Se portant mollement à la défense du DG actuel des Alouettes, le lucide journaliste culturel écrit qu’il comprend la réaction du beau Jim qui a refusé de se présenter aux journalistes lors de la récente conférence de presse donnée par Larry Smith. Il souligne ensuite que Popp fait partie de la crème des DG de la CFL, et que conséquemment, on devrait le laisser travailler tranquillement.
Mais plus important encore, Tremblay accorde toute sa bénédiction aux agissements du beau Jim, car voyez-vous, le gars est un passionné.
Come. On.
L’équipe éditoriale de BIPV s’est toujours montrée sceptique devant l’usage abusif que font les médias sportifs du terme « passion », expression vide et générique qui vise trop souvent à justifier les agissements excessifs, voire répréhensibles de certains individus. Par exemple : Pierre Lambert a trompé Ginette à répétition, mais que voulez-vous, le gars a une « passion » pour les mauvaises actrices Françaises.
C’est cette même « passion » qui a amené Popp a accepter un poste pour lequel il n’avait pas les qualifications requises, un état de fait que le concerné semble difficilement reconnaître, encore aujourd’hui. Tremblay ne semble pas s’en formaliser, encore émoustillé par ce passionné bellâtre qui lui rappelle tant les héros de ses téléséries.
L’équipe de BIPV se questionne encore sur la pertinence de publier les textes de M. Tremblay dans le Cahier des Sports de La Presse, considérant que ses textes portent de moins en moins sur des sujets réellement sportifs, et de plus en plus sur les pleins d’mardes avec qui il se tient (ou avec qui il aimerait se tenir).
LES COMMENTAIRES (1)
posté le 26 décembre à 02:23
Pourquoi surnomme-t-on Réjean Trmblay le
Père Ovide du jack strap
?