Leurs réponses techniques face à ce flux (visiblement transparente et souvent open source) est passionnante pour les curieux comme nous. Surtout lorsque entre 2 lignes anodines, il est expliqué que Twitter va développer son propre Datacenter pour héberger ses services. Au fil des slides on démasque quelque mot-clés qui commence à être récurent sur les architectures à haut volume : memcached, haproxy, cassandra, etc…