« La dictature mondialiste », par Michel de Poncins

Publié le 20 avril 2010 par Lecriducontribuable
LA DICTATURE MONDIALISTE Cette dictature se met en place comme une marée noire et par ondes successives. Elle comporte  divers échelons qui s’exercent avec plus ou moins d’intensité, ses Commissaires comme l’Europe les appelle impunément  et ses idiots utiles. Pour la désigner certains parlent plus sobrement du mondialisme, qui est à bien distinguer de la mondialisation. C’est un vrai scoop que nous allons  offrir aujourd’hui à son propos. Il est certain en effet que personne ne parle actuellement  dans la presse et ailleurs du document que nous allons évoquer et qui est scandaleux. Il émane d’une des plus grandes banques internationales qui a un établissement en France. Elle se réfère à la troisième directive de l’Union Européenne  en matière de lutte contre le blanchiment qui a été récemment transposée en droit français ; cette directive impose aux banques installées en France de nouvelles obligations en matière de connaissance de leur clientèle existante. La route de la  servitude est claire. La France en acceptant de perdre son indépendance se met dans l’obligation d’inscrire dans le droit français les directives inventées en grand nombre par des fonctionnaires bruxellois : elle devient ainsi partie prenante de la dictature. Le questionnaire comporte beaucoup de rubriques qui fournissent en vrac aux employés de la banque une foule de renseignements sur votre personne  et dont, pourtant, elle n’a en fait nullement besoin pour avoir des relations avec vous. Par exemple : votre métier, le nom de votre employeur, vos revenus dans tous les détails avec leurs origines, la liste de certains pays où vous êtes censés vous être rendu ou non. Il est facile de noter que le choix des pays est parfaitement arbitraire, les champions connus du blanchiment n’étant pas dans la liste ; rappelons, au passage,  que la France a abandonné 500 villes à des gangs de dealers et que le blanchiment s’y pratique avec allégresse. Une menace très claire est incluse dans la correspondance à savoir que s’il n’est pas répondu avant une certaine date à toutes les informations il y aura des difficultés dans la gestion de votre compte. A la réception de ce questionnaire, plusieurs attitudes sont possibles. On peut dire « Bof » et remplir le questionnaire : on en a tant vu ; ces Boffistes peuvent se rassurer en  constatant qu’à leur côté se trouvent les naïfs ; en tout petit caractère, il est donné certaines garanties sur l’utilisation de ces renseignements. Mais ceux qui savent lire apprennent que les  informations peuvent être transmises à des prestataires de services extérieurs ; en Inde, de grosses firmes d’informatique pourront vendre vos données sur le marché ! Boffistes et naïfs peuvent aussi noter que le document ne comporte que deux pages : funeste réconfort. Les bureaucraties publiques ne se contentent pas d’entasser les règlementations mais font foisonner leurs  imprimés : voir la déclaration de revenu qui est devenu un vrai fouillis. Le document de la grande banque n’est qu’un début. Il est évident que nous sommes devant une opération dictatoriale. Quatre grandes  dictatures ont traversé le XX° siècle. Plusieurs traits communs avec ces entreprises criminelles se retrouvent dans la nouvelle dictature. - L’indépendance totale sans aucun contrôle démocratique. A la CEE et à l’ONU des fonctionnaires  agissent en toute indépendance sauf à tenir compte  de  quelques élections convenablement trafiquées. Tout le monde se rappelle le mépris avec lequel furent traités les peuples obtus qui avaient refusé de répondre « oui » aux référendums sur la constitution. - L’extension sans limite. Quand la machine à broyer est lancée, rien ne l’arrête. La dictature mondialiste s’étend dans tous les domaines de la vie jusqu’au camenbert, au vin rosé et la chasse à la baleine. -Les relais de pouvoir. La dictature présente s’exerce  non seulement par l’ONU mais aussi par une foule d’organisations annexes  qui travaillent pour leur compte propre : FAO, UNESCO, OMC, CITES, OMS. Quant à l’Union européenne s’est le même phénomène ; il y a, par exemple, une dame qui est Commissaire (sic) pour le climat ;  en vue de lutter contre le soleil elle fait beaucoup parler d’elle à l’abri du dogme mensonger du prétendu réchauffement et a pour seul objectif d’essayer de protéger son job. -L’immensité de la richesse des dictateurs est connue. En Russie communiste, il y avait les magasins spéciaux. La richesse des Onucrates et Eurocrates est légendaire et explique en partie l’extension indéfinie de la dictature, tant les intérêts se fédèrent pour l’étendre. -Le jeu des intérêts particuliers. C’est là qu’interviennent les idiots utiles dont la banque en question.  Elle ouvre la sarabande et prend une longueur d’avance sur ses concurrentes, grâce à la formidable base de données qu’elle va constituer avec les Boffistes et les naïfs. -De bons prétextes pour justifier la dictature, l’enfer étant pavé de bonnes intentions. Le blanchiment  tombe à point. Il y aussi la biodiversité ou une pandémie qui par chance peut arriver. -Le maintien et la poursuite du socialisme dans le monde entier et c’est une autre ressemblance avec les grandes dictatures du XX° siècle. Le socialisme est plus virulent que jamais et extraordinairement envahissant ceci malgré quelques avancées  vers la liberté économique. Un socialiste DSK, se trouve aujourd’hui à la tête du FMI. Un colonel du défunt KGB gouverne une partie appréciable du monde. Le socialisme mondial est à la fois l’effet et le moyen du pouvoir dictatorial auquel, but  suprême, s’alimente la richesse personnelle de leurs dirigeants. -L’idée de bâtir un homme nouveau ce qui est une offensive contre Dieu. Cet aspect, certes, semble absent du document de la banque. D’autres branches de la  dictature s’en occupent activement : voir tout ce qui concerne l’éducation. Les effets de la dictature sont terrifiants : destruction des nations, paupérisation par les impôts et réglementations, faim dans le monde par la destruction de la paysannerie, extension de la corruption dont l’ONU est un centre connu. Une première grande banque internationale ayant  accepté de jouer le rôle des idiots utiles il est clair que les autres seront amenés à s’aligner ne serait-ce que pour des raisons concurrentielles et puis ensuite toutes les banques jusqu’aux plus petites. Nous ne pourrons plus avoir de relations avec aucune banque sans nous dépouiller de nos vêtements à l’entrée, plus rien de notre vie lui étant caché. Que pouvons-nous faire devant une telle marée noire ? Informer le public et résister au maximum en se rappelant que toute dictature finit un jour par s’écraser sous son propre poids. On peut aussi relire la Bible et se souvenir que la tour de Babel a été détruite.

Cette dictature se met en place comme une marée noire et par ondes successives. Elle comporte  divers échelons qui s’exercent avec plus ou moins d’intensité, ses commissaires comme l’Union européenne les appelle impunément  et ses idiots utiles. Pour la désigner certains parlent plus sobrement du mondialisme, qui est à bien distinguer de la mondialisation.

C’est un vrai scoop que nous allons  offrir aujourd’hui à son propos. Il est certain en effet que personne ne parle actuellement  dans la presse et ailleurs du document que nous allons évoquer et qui est scandaleux.

Il émane d’une des plus grandes banques internationales qui a un établissement en France. Elle se réfère à la troisième directive de l’Union Européenne  en matière de lutte contre le blanchiment qui a été récemment transposée en droit français ; cette directive impose aux banques installées en France de nouvelles obligations en matière de connaissance de leur clientèle existante.

La route de la  servitude est claire. La France, en acceptant de perdre son indépendance, se met dans l’obligation d’inscrire dans le droit français les directives inventées en grand nombre par des fonctionnaires bruxellois : elle devient ainsi partie prenante de la dictature.

Le questionnaire comporte beaucoup de rubriques qui fournissent en vrac aux employés de la banque une foule de renseignements sur votre personne  et dont, pourtant, elle n’a en fait nullement besoin pour avoir des relations avec vous. Par exemple : votre métier, le nom de votre employeur, vos revenus dans tous les détails avec leurs origines, la liste de certains pays où vous êtes censé vous être rendu ou non. Il est facile de noter que le choix des pays est parfaitement arbitraire, les champions connus du blanchiment n’étant pas dans la liste ; rappelons, au passage,  que la France a abandonné 500 villes à des gangs de dealers et que le blanchiment s’y pratique avec allégresse.

Une menace très claire est incluse dans la correspondance, à savoir que s’il n’est pas répondu avant une certaine date à toutes les informations il y aura des difficultés dans la gestion de votre compte.

A la réception de ce questionnaire, plusieurs attitudes sont possibles. On peut dire « bof » et remplir le questionnaire : on en a tant vu ; ces boffistes peuvent se rassurer en  constatant qu’à leur côté se trouvent les naïfs ; en tout petit caractère, il est donné certaines garanties sur l’utilisation de ces renseignements. Mais ceux qui savent lire apprennent que les  informations peuvent être transmises à des prestataires de services extérieurs ; en Inde, de grosses firmes d’informatique pourront vendre vos données sur le marché ! Boffistes et naïfs peuvent aussi noter que le document ne comporte que deux pages : funeste réconfort. Les bureaucraties publiques ne se contentent pas d’entasser les règlementations mais font foisonner leurs  imprimés : voir la déclaration de revenu qui est devenu un vrai fouillis. Le document de la grande banque n’est qu’un début.

Il est évident que nous sommes devant une opération dictatoriale. Quatre grandes  dictatures ont traversé le XX° siècle. Plusieurs traits communs avec ces entreprises criminelles se retrouvent dans la nouvelle dictature.

  • L’indépendance totale, sans aucun contrôle démocratique. A l’UE et à l’ONU, des fonctionnaires  agissent en toute indépendance, sauf à tenir compte  de  quelques élections convenablement trafiquées. Tout le monde se rappelle le mépris avec lequel furent traités les peuples obtus qui avaient refusé de répondre « oui » aux référendums sur la Constitution européenne.
  • L’extension sans limite. Quand la machine à broyer est lancée, rien ne l’arrête. La dictature mondialiste s’étend dans tous les domaines de la vie jusqu’au camembert, au vin rosé et la chasse à la baleine.
  • Les relais de pouvoir. La dictature présente s’exerce  non seulement par l’ONU mais aussi par une foule d’organisations annexes  qui travaillent pour leur propre compte : FAO, UNESCO, OMC, CITES, OMS. Quant à l’Union européenne, c’est le même phénomène ; il y a, par exemple, une dame qui est commissaire pour le climat ;  en vue de lutter contre le soleil, elle fait beaucoup parler d’elle à l’abri du dogme mensonger du prétendu réchauffement et a pour seul objectif d’essayer de protéger son job.
  • L’immensité de la richesse des dictateurs est connue. En Russie communiste, il y avait les magasins spéciaux. La richesse des Onucrates et Eurocrates est légendaire et explique en partie l’extension indéfinie de la dictature, tant les intérêts se fédèrent pour l’étendre.
  • Le jeu des intérêts particuliers. C’est là qu’interviennent les idiots utiles dont la banque en question.  Elle ouvre la sarabande et prend une longueur d’avance sur ses concurrentes, grâce à la formidable base de données qu’elle va constituer avec les boffistes et les naïfs.
  • De bons prétextes pour justifier la dictature, l’enfer étant pavé de bonnes intentions. Le blanchiment  tombe à point. Il y aussi la biodiversité ou une pandémie qui par chance peut arriver.
  • Le maintien et la poursuite du socialisme dans le monde entier et c’est une autre ressemblance avec les grandes dictatures du XXe siècle. Le socialisme est plus virulent que jamais et extraordinairement envahissant, cela malgré quelques avancées vers la liberté économique. Un socialiste, Dominique Strauss-Kahn, se trouve aujourd’hui à la tête du FMI. Un colonel du défunt KGB gouverne une partie appréciable du monde. Le socialisme mondial est à la fois l’effet et le moyen du pouvoir dictatorial auquel, but  suprême, s’alimente la richesse personnelle de leurs dirigeants.
  • L’idée de bâtir un homme nouveau, ce qui est une offensive contre Dieu. Cet aspect, certes, semble absent du document de la banque. D’autres branches de la  dictature s’en occupent activement : voir tout ce qui concerne l’éducation.

Les effets de la dictature sont terrifiants : destruction des nations, paupérisation par les impôts et réglementations, faim dans le monde par la destruction de la paysannerie, extension de la corruption dont l’ONU est un centre connu.

Une première grande banque internationale ayant accepté de jouer le rôle des idiots utiles, il est clair que les autres seront amenées à s’aligner, ne serait-ce que pour des raisons concurrentielles et ensuite toutes les banques, jusqu’aux plus petites. Nous ne pourrons plus avoir de relations avec aucune banque sans nous dépouiller de nos vêtements à l’entrée, plus rien de notre vie ne lui étant caché.

Que pouvons-nous faire devant une telle marée noire ? Informer le public et résister au maximum en se rappelant que toute dictature finit un jour par s’écraser sous son propre poids.

On peut aussi relire la Bible et se souvenir que la tour de Babel a été détruite.